photo Une oeuvre, un invité, un café : Le maillot de bain, l'histoire d'un petit bout de tissus

Une oeuvre, un invité, un café : Le maillot de bain, l'histoire d'un petit bout de tissus

Exposition, Photographie - Vidéo

Rives-en-Seine 76490

Le 06/08/2024

C’est la semaine de la mode à MuséoSeine, au programme : défilé de photos de maillots de bain ! À partir des exemplaires présentés dans l’exposition Et plouf ! Nageurs et nageuses en Seine du XIXe siècle à 1968, nous rembobinons le fil de l’histoire de ce petit bout de tissu jusqu’à l’Antiquité (cf. présentation de l'exposition p. 28).

photo [Théâtre] Diane Self Portrait

[Théâtre] Diane Self Portrait

Théâtre

DIEPPE 76200

Le 17/03/2022

Tout à la fois destin de femme en quête d'émancipation, portrait d'artiste et de la différence à un moment où la morale du monde rétrécit nos regards curieux et empathiques. Diane Arbus se suicide en 1971, à 48 ans. C'est le point de départ de la pièce. Une série de flashback sur les traces de cette figure majeure de la photographie du 20e siècle commence alors. Après avoir été l'assistante de son mari pour des photos de mode, Diane Arbus immortalise les instants de l'underground de la capitale culturelle américaine, dévoilant l'invisible d'une société à la fois baroque et conservatrice. Elle navigue des appartements de l'Upper East Side aux cabarets et bas-fond de la cité. Dans ces années 60 si machistes, cette femme porte un projet artistique à l'antithèse de ce qu'imposait les canons de Vogue ou du Harper's Bazar. Elle ne capture plus le glamour et la beauté, mais l'humanité sans fard, dans sa rudesse et sa brutalité. Elle fait les portraits de freaks, ces gens à la marge de la société par leur orientation sexuelle, leurs choix de vie ou leurs infirmités… Diane Arbus montre l'invisible d'une société américaine prude, qui relègue dans l'ombre une part de sa population[...]

photo [Théâtre] Diane Self Portrait

[Théâtre] Diane Self Portrait

Dieppe 76200

Le 17/03/2022

Tout à la fois destin de femme en quête d'émancipation, portrait d'artiste et de la différence à un moment où la morale du monde rétrécit nos regards curieux et empathiques. Diane Arbus se suicide en 1971, à 48 ans. C'est le point de départ de la pièce. Une série de flashback sur les traces de cette figure majeure de la photographie du 20e siècle commence alors. Après avoir été l'assistante de son mari pour des photos de mode, Diane Arbus immortalise les instants de l'underground de la capitale culturelle américaine, dévoilant l'invisible d'une société à la fois baroque et conservatrice. Elle navigue des appartements de l'Upper East Side aux cabarets et bas-fond de la cité. Dans ces années 60 si machistes, cette femme porte un projet artistique à l'antithèse de ce qu'imposait les canons de Vogue ou du Harper's Bazar. Elle ne capture plus le glamour et la beauté, mais l'humanité sans fard, dans sa rudesse et sa brutalité. Elle fait les portraits de freaks, ces gens à la marge de la société par leur orientation sexuelle, leurs choix de vie ou leurs infirmités… Diane Arbus montre l'invisible d'une société américaine prude, qui relègue dans l'ombre une part de sa population[...]